Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Une Marocaine est passée devant la justice cette semaine à Kénitra, à 40 kilomètres de Rabat, pour avoir contracté un mariage avec son fiancé décédé afin d’hériter de ses biens.
Selon le journal Assabah qui rapporte cette affaire, la femme est accusée par la justice de « falsifications de documents officiels ». Son complice, qui s’est fait passer pour le fiancé mort pour contracter le mariage, est actuellement recherché par la police.
L’affaire a éclaté quand la jeune femme est arrivée aux funérailles de l’homme décédé après un accident de la route. Devant la famille, elle s’est faite passer pour sa veuve, sauf que le frère a porté plainte contre elle en affirmant que l’homme décédé avait bien l’intention de se marier avec elle et qu’il avait même entamé les démarches, mais que celles-ci n’avaient jamais été finalisées.
Pour se défendre, l’accusée a brandi un acte matrimonial à la famille, rédigé deux jours après le décès du fiancé en tentant de les convaincre que ce sont les deux adouls (notaires) qui ont fait une erreur sur la date de l’acte.
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