
L’introduction du système de jour-amende dans le cadre des peines alternatives pourrait devenir une réalité au Maroc. Une loi devrait être bientôt votée dans ce sens.
La loi donne la possibilité aux étrangers héritiers de biens au Maroc de transférer les produits de cession à hauteur de 25% en 4 ans.
La loi sur le transfert des produits de cession des biens hérités au Maroc est une profonde préoccupation, surtout dans le cas de la liquidation d’un héritage, rapporte L’économiste.
A titre d’exemple, la même source évoque le cas des ressortissants français qui ont hérité d’un immeuble. Ceux-ci se trouvaient dans l’incapacité de transférer le produit de cession de leur bien vers la France, leur pays d’origine. Pour résoudre cette équation en l’absence de justificatifs, la procédure a consisté en un transfert aux ayants droit de 30.000 dirhams par année vécue par le défunt au Maroc.
De même, le reliquat doit être déposé sur un compte convertible à terme. Ainsi, le crédit de ce compte pourra être transféré à hauteur de 25% en 4 ans. En outre, la loi donne la possibilité aux héritiers de demander une dérogation spéciale pour opérer un transfert en une seule fois.
La premier versement ne peut s’effectuer qu’en un an à compter de la date d’inscription des fonds au compte. Cette procédure ne concerne pas les binationaux.
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