Au Maroc, certains présidents de commune, candidats à leur succession à l’occasion de la session d’octobre, sont accusés d’avoir commencé à acheter les voix de certains élus pour garantir leur réélection.
Evoquant une démarche « séparatiste menaçant l’intégrité territoriale de l’Irak », le Maroc vient de s’opposer au dernier référendum sur l’indépendance du Kurdistan irakien.
La déclaration a été faite à l’issue du Conseil du gouvernement qui s’est déroulé jeudi. Pour le porte-parole du gouvernement, « il suffit de revoir les positions du Royaume exprimées de par le passé pour réaffirmer ce rejet », a expliqué Mustapha El Khalfi faisant référence au discours prononcé par le roi Mohammed VI lors du sommet Maroc-Pays du Golfe dans lequel il a appelé à la mobilisation face « aux projets de morcellement du monde arabe ».
Malgré une très large victoire du oui (92%), les résultats ne sont pour l’instant pas reconnus par l’Irak ni par les pays limitrophes. Pour le Premier ministre irakien, les résultats doivent être annulés et un dialogue doit s’ouvrir dans le cadre de la constitution irakienne.
D’autres pays ont également désapprouvé les résultats, notamment la Turquie et l’Iran, frontalier avec l’Irak.
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