Hausse des prix au Maroc : le Conseil de la concurrence menace
Dans un contexte de hausse des cours mondiaux, le Conseil de la concurrence a demandé à tous les acteurs économiques de respecter la libre concurrence, concernant la fixation...
Face à la grogne sociale causée par la cherté de la vie, le gouvernement marocain a réitéré son engagement à faire face à la hausse des prix.
Le sujet était au cœur d’une réunion de la majorité gouvernementale tenue mardi au cours de laquelle Aziz Akhannouch a affirmé que le gouvernement tiendra ses promesses, en prenant des mesures adéquates pour atténuer les difficultés des Marocains.
Expliquant la hausse des prix, le chef du gouvernement a fait savoir qu’elle est due à une conjoncture liée à la pandémie de Covid qui, malheureusement, se trouve aux prises avec une montée du prix du baril de pétrole, une flambée des prix de certains produits de base et surtout une des plus sévères sécheresses que le Maroc ait jamais connues.
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Dans ce contexte, Akhannouch s’est engagé à assurer la subvention des produits essentiels tels que le sucre, le gaz butane, la farine de blé tendre, l’eau et l’électricité et à faire face aux difficultés rencontrées par les professionnels du transport et œuvrer à créer un équilibre en marge des répercussions de la hausse des prix du carburant à l’international.
À cet effet, l’Exécutif a tenu ce mercredi une réunion avec les opérateurs du transport. Cette réunion avait pour objectif « d’examiner les solutions susceptibles de nous permettre de surmonter la crise des prix du pétrole afin d’en limiter les répercussions sur les citoyens », a-t-il précisé.
Aller plus loin
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