Les habitants d’un village touché par le puissant et dévastateur tremblement de terre, sont en colère contre le gouvernement à cause de l’aide d’urgence qu’ils affirment ne pas avoir encore reçu. Ils appellent le roi Mohammed VI au secours.
Hassan Bouhemou, actuel PDG de la Société Nationale d’Investissement (SNI), détenue principalement par la famille royale marocaine, quittera son poste le 1er octobre prochain après un conseil d’administration du groupe, dont il a présidé aux destinées pendant 13 ans.
D’après une source de la SNI citée par l’hebdomadaire "Jeune Afrique", "Bouhemou part le 1er octobre en bons termes avec son actionnariat et avec le sentiment du devoir accompli, vu son excellent bilan à la tête de la SNI. C’est lui qui a demandé son départ il y a de cela plusieurs mois".
Sur les raisons de son départ, Hassan Bouhemou explique avoir terminé sa mission à la tête de la SNI. L’homme engagé en 2001 par Mounir Majidi, secrétaire particulier du Roi Mohammed VI, pour réorganiser les entreprises royales, est à l’origine de toutes les grandes décisions concernant la SNI depuis 2002, dont les fusions de la BCM et Wafa Bank, devenues Attijari Wafabank et celle de l’ONA et de la SNI en 2010.
Hassan Ouriaghli, PDG d’Optorg, centrale d’achat parisienne de la SNI et ancien directeur délégué de la défunte Omnium Nord-Africain (ONA), serait l’un des principaux candidats pressentis pour succéder à Bouhemou.
La décision qui devrait être annoncée officiellement fin septembre, a été prise il y a de cela plusieurs mois. Après la fusion de l’ONA et de la SNI en 2010, le groupe royal avait décidé de se retirer de certains secteurs productifs pour se transformer en holding d’investissement.
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