Des changements ont été opérés pour impacter positivement le secteur de l’immobilier. Le délai prévu dans l’article 573 relatif à l’introduction d’une action en justice pour défaut de garantie n’est plus limité à 365 jours.
La photo de l’enfant
Des blessures d’une extrême violence ont été relevées récemment sur un petit garçon de 5 ans, par la directrice d’une garderie à Meknès. Le garçonnet souffrait de brûlures du troisième degré dans différentes parties de son corps, de tuméfactions autour des yeux et des oreilles. Il a aussi été violé.
C’est la responsable de la garderie où sa mère adoptive l’avait mis, qui avait remarqué que le petit garçon boitait et portait des traces sur son visage, rapporte Hespress.
Aymen a d’abord refusé de parler et de se découvrir les jambes, mais rassuré par la directrice de la garderie, il raconte alors son calvaire qui a duré près d’un an.
La mère adoptive prenait un malin plaisir à chauffer du lait avant de lui verser sur toutes les parties de son corps. Le sadisme de la tortionnaire ne s’arrête pas là puisque d’après le certificat du médecin qui l’a examiné, sa tortionnaire le violait à l’aide d’un bâton.
Plusieurs parties de son corps étaient infectées et étaient couvertes de plastique. L’enfant est à ce jour encore sous le choc et ne comprend pas ce qui lui arrive. Normal quand on a à peine 5 ans.
L’accusée a été incarcérée dans l’attente de son passage devant le juge. La Fondation Rita Zniber, association d’aide à l’enfance qui a pris en charge l’enfant, s’est portée partie civile dans cette affaire et réclame une peine maximale contre la tortionnaire.
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