En échange de 4.000 euros, une citoyenne française de 49 ans, qui a déposé une plainte auprès de la Police judiciaire, a été surprise de subir une opération de chirurgie esthétique au sous-sol d’une villa, en lieu et place d’une clinique privée, comme convenu au départ avec le médecin.
La perquisition effectuée dans la villa louée pour l’exercice illégal de la chirurgie esthétique, a permis de saisir un cachet de médecin portant son nom, en plus de dispositifs médicaux, de médicaments et de préparations pharmaceutiques que le médecin utilisait dans ses interventions clandestines.
Le mis en cause fait l’objet d’une enquête ouverte sous la supervision du Parquet général, en vue de déterminer les actes qui lui sont reprochés, notamment, l’exercice de la médecine sans autorisation, l’exploitation d’un local clandestin pour effectuer des interventions chirurgicales, ainsi que son titre de médecin.