Une Marocaine écrasée par le poids de ses marchandises
Comme l’explique la chaîne, cette ville « vit du commerce d’objets de seconde main provenant d’Europe. Pour éviter les droits de douane, les trafiquants les font transporter par des femmes marocaines », et parfois des personnes âgées.
Pour l’une des femmes interrogées par la chaîne, ce n’est pas un travail mais bien une guerre. « Transportées ainsi, les marchandises ne sont pas soumises aux taxes. Ces trafics lucratifs, réalisés dans des conditions inhumaines, ne profitent que très peu aux porteurs, réduits à lutter pour leur survie », écrit encore Arte.