La victime a des blessures à la tête, mais la cause du décès serait naturelle, a assuré la Garde civile. Toutefois, une autopsie sera réalisée par l’Institut de médecine légale de Saragosse pour en avoir le cœur net. Le berger travaillait depuis sept ans dans une ferme ovine à Calanda. Comme d’habitude, il devait aller retrouver son beau-frère à 16 h pour qu’ils rentrent ensemble à Calanda, Ne le voyant pas au lieu de rencontre habituel, le beau-frère a tenté en vain de le joindre par téléphone. Il a donc décidé de se rendre à son lieu de travail. En chemin, il trouve le corps du berger.
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Le propriétaire de la ferme où travaillait le berger marocain, regrette cette brusque et douloureuse perte. « C’était quelqu’un de très bien et étant presque de mon âge, nous nous entendions très bien, il était comme un frère », a déclaré Alfonso Palos qui est également un conseiller municipal de Calanda. Alerté par le beau-frère de la situation du berger, il a appelé le service d’urgence et la Garde civile pour tenter de le sauver. Mais ils n’ont pu rien faire. Le médecin légiste a simplement constaté le décès du Marocain et procédé à l’enlèvement de son corps.
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Pour la Garde civile, la piste criminelle n’est pas envisagée. Le propriétaire, lui, estime que la victime aurait subi une crise cardiaque ou des étourdissements qui auraient entraîné sa mauvaise chute au terme de laquelle il se serait cogné la tête contre une pierre. Ce dernier souligne que le berger était peut-être mort depuis 10 h environ, puisqu’il ne répondait plus aux messages de son beau-frère depuis cette heure.