Au Maroc, la mère divorcée, qui obtient généralement la garde de l’enfant, n’en a pas la tutelle qui revient de droit au père. Les défenseurs des droits des femmes appellent à une réforme du Code de la famille pour corriger ce qu’ils qualifient...
La société marocaine verse dans la violence, la cellule familiale est disloquée, les jeunes en mal de vivre et perdus se réfugient dans la cigarette et la drogue, avant de sombrer dans la dépression, qui mène dans certains cas au suicide.
Ce constat angoissant, dressé par une étude menée par le ministère de la Santé, nous apprend que 15,5% des Marocains âgés de 13 à 15 ans fument, et que 50% ne pratiquent aucun sport et souffrent de maladies dentaires.
Selon des chiffres révélés récemment par Najat Gharbi, chef de division de la santé scolaire et universitaire au ministère de la Santé, 8% des garçons en milieu scolaire consomment de l’alcool, contre 3,5% de filles.
L’étude, reprise par Akhbar Al Yaoum, estime à 3% le nombre d’élèves usant de la drogue en milieu scolaire, et indique que 14% de ces jeunes sont sujets à des troubles psychiques et neurologiques.
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