La DGAPR, dans une mise au point, indique que ces détenus bénéficient de bonnes conditions d’emprisonnement au sein de cellules disposant de l’aération, de l’éclairage et de la propreté.
De plus, ils jouissent de leurs droits à l’alimentation, à la promenade, au bain et à la couverture médicale. La DGAPR a souligné que toutes les conditions sont réunies pour le respect scrupuleux de leurs droits en tant que personnes humaines.
La DGAPR qualifie de mensongères les allégations contenues dans le communiqué faisant état d’une grève de la faim d’un détenu à la prison locale Tanger 2. Le détenu n’a jamais avisé l’administration de cet établissement pénitentiaire puisqu’il reçoit régulièrement ses repas et son état de santé n’a connu aucune dégradation.
Quant au détenu à la prison locale de Nador 2, il a entamé une grève de la faim pour des raisons relatives à son affaire et non en relation avec les conditions de sa détention. La DGAPR assure qu’il fait l’objet d’un suivi médical constant et que son état de santé est « stable ».
Pour l’institution liée à la gestion de la vie pénitentiaire, on cherche à propager de fausses données dans le souci de décrédibiliser les établissements pénitentiaires et induire en erreur l’opinion publique.