
La fermeture en série des franchises dans les grandes villes du Maroc inquiète Mohamed el Fane, le président de la Fédération marocaine de la franchise (FMF). Il appelle l’État à soutenir ce secteur qui se meurt.
Evénement unique, le défilé Croisière 2020 de Dior a vu des personnalités mondiales du cinéma et de la mode se donner rendez-vous dans la ville ocre. Après le récent mariage de l’acteur britannique Idris Elba, Marrakech qui est devenue le haut lieu des grandes manifestations mondiales était encore sous le feu des projecteurs lundi dernier.
Pour la soirée qui a eu pour cadre le Palais de la Bahia, l’actrice et créatrice de la marque The Honest Company était entièrement vêtue par Dior. Plusieurs célébrités ont répondu à l’invitation de la marque de luxe française Dior qui avait également invité une troupe de percussionnistes pour animer la soirée.
Au nombre de ces invités de marque, HuffPost Maroc cite entre autres, plusieurs stars américaines qui ont fait le déplacement. Parmi elles, Karlie Kloss, Jessica Alba, Shaileen Woodley, Lupita Nyong’o ou encore Diana Ross.
HuffPost Maroc a surtout souligné l’engagement de la directrice artistique de la maison Dior qui « était de mettre en lumière des talents africains qui pourront réinterpréter les codes de Dior ». C’est ainsi qu’« elle décide alors de collaborer avec une société de textile africaine basée en Côte d’Ivoire (Uniwax), ainsi qu’une association marocaine (Sumano) visant à faire revivre le patrimoine artisanal féminin des tribus du royaume, notamment à travers l’art du tissage, la peinture céramique et la teinture végétale ».
Et le résultat a épaté plus d’un, un défilé de mode très réussi qui aura fait tache d’huile. Dior aura ainsi marqué d’un sceau la première venue de la maison de couture française en terre nord-africaine. Dior a notamment présenté une « collection pensée comme un dialogue entre son histoire et le patrimoine africain, au cœur de la ville ocre », renseigne HuffPost Maroc qui précise que Maria Grazia Chiuri « s’est inspirée du Maroc, point de rencontre entre deux continents, pour imaginer une collection profondément africaine, qui explore le thème du “Common Ground” (littéralement, territoire commun en français) ».
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