
Maroc Telecom a revu ses offres à la hausse au grand dam de ses abonnés qui souffrent déjà de la cherté de la vie.
Le gouvernement marocain aurait exigé la présence d’un acteur local dans le capital de Maroc Telecom, mis en vente par le groupe français Vivendi.
D’après des sources citées par l’agence Reuters, C’est la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), qui pourrait "devenir la voix du Maroc au sein du conseil d’administration de la société", en tant qu’actionnaire au sein de l’entreprise marocaine.
L’opérateur emirati Etisalat, seul en lice pour le rachat des 53% mis en vente par le groupe Vivendi, ne serait pas opposé à l’entrée d’un actionnaire minoritaire au conseil d’administration de Maroc Telecom.
S’il devait y avoir entrée de la CDG, celle-ci ne se ferait pas sur les 53% mis en vente par Vivendi, mais bien sur le rachat d’une partie de la participation de l’Etat marocain ou des 7% de l’opérateur cotés en bourse.
Très endetté, le groupe français Vivendi cherche à vendre les 53% qu’il détient dans l’opérateur marocain, évalués selon lui à 5,5 milliards d’euros, pour se concentrer sur les jeux vidéos, la télévision payante et la musique.
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