L’étude en question s’est penchée sur l’aptitude des expatriés à suivre le coût de la vie, dans les différentes métropoles, et vise à fournir les entreprises en données réelles, pour une meilleure affectation des ressources humaines et financières.
Le classement des villes s’appuie sur les coûts respectifs du transport, des produits alimentaires, des vêtements, des articles ménagers, des activités culturelles et sportives, ainsi que sur le prix des loyers.
Le Top Ten est marqué, principalement, par des villes asiatiques, où Hong Kong prend la première place des villes les plus chères au monde, suivie de Tokyo et de Singapour. Quant aux villes arabes et africaines, Dubaï arrive à la 22ème place, suivie de Kinshasa à la 23ème position.
Casablanca arrive à la 128ème position, alors que Rabat est 160ème. Les deux métropoles marocaines figurent, ainsi, parmi les villes les plus chères, aussi bien pour les expatriés que pour les citadins. Un constat, qui peut être utile, pour les multinationales, dans l’établissement des salaires de leurs cadres expatriés mais, plus encore, pour l’évaluation des bourses marocaines.