Le ministère de l’Intérieur dirigé par Abdelouafi Laftit mène une lutte contre l’évasion fiscale dans le secteur de l’immobilier. Dans son viseur, les promoteurs immobiliers qui ne paient pas la taxe sur les terrains non bâtis (TNB) et certains...
Les hommes d’affaires des pays du printemps arabe préfèrent investir à Dubaï, en raison des avantages fiscaux proposés par l’Émirat. Le Maroc figurerait lui aussi parmi les destinations préférées des capitaux arabes.
A l’ombre des derniers développements dans les pays du Printemps arabe, beaucoup d’hommes d’affaires tunisiens, libyens et égyptiens ont préféré quitter leurs pays pour s’installer à Dubaï, paradis fiscal par excellence.
Le Maroc pourrait devenir un réel concurrent, pouvant accueillir bien plus de capitaux de pays arabes, affirment des sources des milieux des affaires arabes au quotidien Akhbar Al Yaoum. La condition serait que le Maroc consente à réformer le domaine de la justice et allège la charge administrative qui décourage de nombreux investisseurs potentiels.
Avec ces réformes, le Maroc pourrait même devenir la première destination des hommes d’affaires arabes, qui ont délaissé les Etats Unis et l’Europe après le 11 septembre 2001. Après les attentats, les autorités locales avaient gelé de nombreux capitaux arabes en raison de doutes sur leurs origines.
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