
Face à la sécheresse et au stress hydrique d’une part, et à l’inflation d’autre part, le gouvernement marocain est contraint de revoir sa politique agricole et alimentaire pour garantir l’eau et le pain.
La culture du cannabis au Maroc a connu une baisse de 60% entre 2003 et 2009 en passant de 134.000 hectares à 56.000 hectares cultivés.
Les superficies cultivées ont diminué de 80% à Taounate et de 90% à Tétouan alors qu’à Larache et Chefchaouen elles ont été complètement éradiquées.
En 2009, les autorités ont également saisi près de 180 tonnes de chira, soit 60% de plus qu’en 2008.
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