Alors qu’elles participaient fin octobre au Trek Rose Trip, qui sensibilise au cancer du sein, récolte des fonds pour l’association Ruban Rose et plusieurs autres structures, au Sahara, au Maroc, plus de 800 femmes ont vécu une expérience...
La police marocaine a interdit hier l’entrée au royaume à un avocat espagnol qui avait déjà été expulsé du pays en avril dernier. Ce dernier comptait rendre visite à des prisonniers sahraouis.
Cité par l’agence EFE, Francisco Serrano affirme avoir embarqué dans le bateau en direction de Tanger mais un policier marocain lui a retiré son passeport lui rappelant qu’en avril dernier, il avait été expulsé du pays avec un groupe de juristes sympathisants de la cause sahraouie.
Finalement, l’avocat espagnol a dû reprendre le même bateau et revenir jusqu’à Algésiras, indique-t-il à EFE. L’agence de presse explique que les autorités marocaines ne se sont pas encore exprimées sur cette affaire et rappelle qu’il est assez rare qu’elle communique sur ce type de question.
D’autres avocats faisant partie du même groupe de défense de prisonniers sahraouis ont pu s’introduire au Maroc sans aucun problème, note EFE. Ils doivent se rendre se rendre à Salé où doit débuter ce lundi le procès de l’affaire Gdim Izik.
Dans un communiqué publié mardi, la DGSN affirme que l’avocat espagnol n’a jamais été interdit d’entrée sur le territoire. « La DGSN confirme que cet avocat est entré au Maroc via le port Tanger-Med, dimanche à 21h40, et a bien déclaré, dans la fiche de voyage mise à la disposition de tous les voyageurs, qu’il se rendait à Rabat », lit-on sur la communiqué.
Ces articles devraient vous intéresser :