Maroc : vague d’arrestations dans les milieux salafistes
La Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), en coordination avec les Renseignements généraux (RG), la police judiciaire et la gendarmerie royale de la...
Les auteurs de l’attentat d’Imlil, dont le procès a débuté le 16 mai, avaient l’intention de développer un réseau de subsahariens et tisser des liens avec le groupe terroriste ouest-africain "Boko Haram".
Lors d’une réunion tenue à Lalla Takerkoust, à 40 km de Marrakech, Abdessamad El Joud et ses acolytes avaient rencontré deux Camerounais en vue de mettre en place un grand réseau de subsahariens. Les discussions tournaient autour de l’adhésion de nouveaux militants à leur cause, et un éventuel rapprochement avec les terroristes du groupe "Boko Haram".
Selon le journal Al Allam, la stratégie du chef de la cellule terroriste, Abdessamad El Joud, était d’utiliser "les connaissances de leurs futures recrues en vue de développer des voies de circulation illégale entre les frontières africaines".
Rappelons que le procès des 24 mis en cause dans le meurtre des deux touristes scandinaves, prévu hier 16 mai, a été reporté au 30 mai prochain par la chambre criminelle de première instance chargée des affaires du terrorisme près l’annexe de la cour d’appel de Salé.
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Les trois principaux auteurs du double meurtre perpétré à Imlil en 2018, qui avaient attaqué en cassation leur jugement, se sont vus confirmer la peine capitale.
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