Cinq individus, âgés entre 22 et 46 ans, soupçonnés d’appartenir à l’organisation terroriste Daesh et de préparer des attentats contre des installations vitales et des institutions sécuritaires, ont été arrêtés par les forces de sécurité marocaines.
Adil Cherkaoui, présumé terroriste, espère que de nouvelles informations provenant des autorités du Maroc, ainsi qu’un article de journal, l’aideront à faire lever les restrictions qui lui sont imposées en vertu d’un certificat de sécurité.
Les avocats d’Adil Cherkaoui étaient de retour en cour, mercredi, pour présenter différentes motions légales au juge Simon Noël, de la Cour fédérale.
Adil Cherkaoui, qui est né au Maroc, a été arrêté en 2003 et a été détenu pendant 21 mois en vertu d’un certificat de sécurité, jusqu’à sa remise en liberté en 2005. Depuis, Cherkaoui est tenu de respecter différentes conditions, dont un couvre-feu et le port d’un bracelet de surveillance électronique.
Ses avocats soutiennent que ces conditions devraient être levées, à la lumière de l’arrêt de la Cour suprême du Canada, en février dernier, qui déclarait le processus des certificats de sécurité inconstitutionnel.
Ces articles devraient vous intéresser :