
La Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) a dévoilé le nombre d’agents de police promus au titre de l’exercice 2024. Pas moins de 10 393 policiers, dont 466 femmes, ont ainsi gravi les échelons de la hiérarchie.
Mercredi dernier, il y a, donc, une semaine, à Salé, un policier a été grièvement blessé au cou par un criminel aux antécédents judiciaires, qu’il tentait d’appréhender. Celui-ci voulait l’égorger pour éviter son arrestation.
Une bagarre entre deux criminels a failli très mal tourner pour un policier, membre d’une patrouille de motards. Ceux-ci, sur les lieux, ont tenté d’arrêter les deux malfrats, pour mettre fin à leur rixe. Mais, alors que les agents ont pu se saisir de l’un des deux, l’autre s’est échappé par d’étroites ruelles. Et, c’est à ce niveau que le drame est arrivé.
Cela se passe à Salé, à proximité de la Gare routière, dans le bidonville dénommé "Sahb El Qaïd". Le motard poursuit l’individu dangereux. Celui-ci sort un couteau et l’agresse violemment, tentant, selon Assabah, de l’égorger. Il réussit à le blesser grièvement au cou.
L’auteur de cette tentative de meurtre a, après cela, pris la fuite. Les policiers étaient à deux doigts de l’arrêter quand sa mère intervient. Elle leur demande de ne pas lui tirer dessus. Elle leur promet de le leur remettre d’elle-même s’ils s’abstiennent de lui faire du mal, toujours selon Assabah.
Mais, finalement, elle n’a pas tenu parole ; le criminel, très violent, s’’est évaporé dans la nature. Un mandat d’arrêt national a été lancé à son encontre.
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