Les autorités marocaines ont décidé de relever les taux de TVA appliqués aux tarifs de l’électricité sur la période 2024-2026.
La prospection pétrolière et minière bat son plein au Maroc. Les opérateurs internationaux gardent un regard très attentif sur l’évolution de l’activité au Maroc et ne cachent pas leur grand intérêt.
Dans le domaine pétrolier, les observateurs et autres spécialistes en la matière sont formels : il y a de fortes similitudes géologiques et géophysiques avec certains pays pétroliers. Sur le plan institutionnel, les choses avancent avec d’énormes chances d’aboutir à de meilleurs résultats. Pour ce faire, le Royaume a adopté en 2000 un nouveau code des hydrocarbures pour générer davantage d’investissements notamment des compagnies étrangères.
Les résultats ne se font plus attendre : plusieurs firmes commencent la prospection et certains forages sont programmés aussi bien dans l’onshore que dans l’offshore. 19 sociétés pétrolières internationales opèrent au Maroc et d’autres s’intéressent à l’exploitation et les permis devront être délivrés prochainement.
Dans le même cadre, et afin de mener une stratégie de promotion rénovée, il a été décidé la création de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) qui est le résultat d’une fusion entre le BRPM et l’ONAREP.
Une fusion qui a été dictée pour des raisons logistiques. Il poursuivra ses missions strtégiques de mise en évidence du potentiel minier et pétrolier du Royaume. Cet organisme serait le représentant de l’Etat dans tous les projets et devra ainsi faire le suivi des opérations en amont et en aval.
Un nouveau code minier devrait être promulgué pour mettre en valeur les potentialités d’un secteur stratégique. Une importance qui trouve son explication dans la valeur ajoutée créée, le volume d’exportation généré et le niveau d’emploi. Mme Amina Benkhadra, directeur général de l’ONHYM, fait le point sur cette évolution.
Le Matin
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