
Au Maroc, la criminalité sous toutes ses formes est maitrisée, assure le ministère de l’Intérieur dans un récent rapport.
La justice marocaine vient de condamner à mort deux intégristes membres de la cellule terroriste de Meknès.
La peine de mort n’a pas été appliquée au Maroc depuis 1994, date de l’exécution du commissaire de police Tabit pour de multiples crimes sexuels.
La Cour a également confirmé la condamnation à la réclusion perpétuelle contre quatre personnes qui faisaient partie de la même cellule (elle comprenait une cinquantaine de personnes au total). Ils sont accusés du meurtre, à l’arme blanche, de l’ancien chef de division des affaires générales de la préfecture de Meknès, d’un gendarme, d’un Juif Marocain et de deux auxiliaires d’autorité.
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