La vérité derrière l’arrestation de Liziane Gutierrez à Marrakech

L’arrestation Liziane Gutierrez a eu lieu le 31 octobre suite à une altercation avec des policiers postés devant l’hôtel Sofitel de Marrakech, rapporte à Morocco World News une source proche du dossier, précisant que l’influenceuse Instagram était en état d’ébriété. Pire, « elle avait insulté les policiers et les avait filmés avec son téléphone portable. Elle a également giflé l’un d’eux, un acte qui a été documenté par la caméra de surveillance placée près de l’hôtel. La situation a conduit à son arrestation pour provocation et violence envers les policiers », ajoute la même source.

Après son arrestation, la star de télé-réalité a été placée en garde à vue sur instruction du parquet près le tribunal de première instance de Marrakech. Incarcérée à la prison de Loudaya le 1ᵉʳ novembre, elle sera condamnée à un mois de prison le 8 novembre. Elle sort de prison le 6 décembre.

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« La prison était un cauchemar quand j’y suis arrivée. Ils pensaient que j’étais transsexuel, alors j’ai dû ouvrir les jambes devant deux femmes et deux hommes. Je ne me suis jamais senti aussi humilié de ma vie. Et ils me regardaient à l’intérieur comme un médecin ou quoi que ce soit, et je pleurais », a raconté la star de téléréalité. Des allégations contredites par la Délégation générale à l’Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion (DGAPR). Dans un communiqué envoyé au Sun et au Daily Star, la DGAPR, indique qu’à l’arrivée de Gutierrez au pénitencier, une gardienne de prison lui a été assignée pour l’accompagner afin de compléter les procédures d’admission en prison existantes.

« Lors de son arrivée au quartier des femmes, elle a été soumise à une fouille minutieuse par une employée de la prison, conformément à la loi en vigueur. Elle a été placée dans des locaux destinés aux femmes détenues avant leur procès », a précisé le communiqué. L’influenceuse a également été soumise à un examen médical de routine par le médecin correctionnel, un processus habituel auquel tous les accusés se soumettent.

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« Elle a été logée dans une cellule assez large équipée de lits superposés. La pièce répond aux normes sanitaires, d’éclairage, de ventilation et autres normes générales de santé. Dès le jour où elle est entrée dans sa cellule, elle a pu dormir dans son propre lit », ajoute la DGAPR, faisant savoir qu’elle a reçu la visite d’un représentant du consulat brésilien.