L’actrice, productrice et danseuse maroco-canadienne, Nora Fatehi figure parmi les grosses pointures du cinéma indien. À combien s’élève la fortune de la plus indienne des Marocaines ?
Vandana Hart, l’initiatrice et présentatrice de la série documentaire produite par Netflix, "We speak dance", pose ses valises au Maroc, pour le compte de la deuxième saison avec, pour challenge, l’exploration de la danse contemporaine, urbaine et, encore, du gnaoua.
"We speak dance", la série documentaire de Netflix, est en escale au Royaume chérifien. Après le Nigeria, le Liban, l’Indonésie, le Vietnam et la France, c’est au tour du Maroc d’accueillir la série, pour sa deuxième saison, rapporte TelQuel. Danseuse et activiste humanitaire américaine, Vandana Hart a initié et présente cette série pour explorer la danse et ses différentes articulations politiques, culturelles et sociales, à travers le monde.
A son arrivée au Maroc, son équipe et elle ont sillonné Chefchaouen, Casablanca, Essaouira et Marrakech, pour explorer la danse contemporaine, le hip-hop et la danse traditionnelle marocaine.
Le tournage a débuté au mois de juillet. L’animatrice a fait la rencontre du danseur contemporain, Taoufik Izeddiou, et de celui de hip-hop et photographe, Yassine Alaoui Ismaili, alias Yoriyas. Elle a aussi fait la connaissance du collectif de danseuses urbaines, B-Girls, ainsi que de danseurs de gnaoua.
“Le Maroc est un pays assez complexe mais je pense qu’aller à la rencontre de danseuses et danseurs marocains est une merveilleuse manière d’être introduite à ce pays. Il y a tellement de cultures qui s’y croisent et qui y cohabitent dans une certaine harmonie et ça m’a fascinée”, s’est enthousiasmée Vandana Hart.
La première saison de la série a été diffusée, en 2018, sur Netflix. Quant à la deuxième saison dont un épisode marocain bouclé, Vadana Hart ne communique aucune date sur sa sortie, encore moins concernant les prochaines escales.
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