Le gouvernement marocain est préoccupé par la réglementation fiscale des géants du numérique. Dans ce sens, il propose de nouvelles obligations fiscales dans le cadre du projet de loi de Finances (PLF) de l’exercice 2024.
Les leaders de l’Union Socialiste des Forces Populaires (USFP), avec à leur tête Abdelouahed Radi, auraient exigé du premier ministre Abbas El Fassi, de conduire le train des réformes politiques et constitutionnelles en tant que chef du gouvernement.
Abbas El Fassi a refusé la demande de l’USFP de coordonner l’ensemble des actions de la majorité pour exiger des réformes du Roi Mohammed VI. Cette prise de position, si elle est adoptée par le premier ministre, voudrait dire que le gouvernement rentrerait dans une lutte contre la monarchie, ce qui placerait Abbas El Fassi dans une position embarrassante.
Les partis de l’Istiqlal et de l’USFP, qui se sont réunis vendredi au domicile d’Abbas El Fassi, se seraient mis d’accord sur la nature des réformes à adopter avant les prochaines échéances électorales de 2012.
La réunion entre les deux partis s’est toutefois terminée sur une mauvaise note. L’USFP y aurait en effet reproché à l’Istiqlal de ne pas avoir signé l’agenda des réformes qu’il avait présenté en 2008.
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