Ayant jugé que l’affaire recèle de nombreuses zones d’ombre, le procureur a transmis le dossier au juge d’instruction en vue d’établir le vrai mobile de l’acte de la mise en cause et disposer de preuves solides pour justifier le chef d’accusation.
Pour le site Akhbarona, l’accusée, dont l’état psychique était instable lors de sa comparution devant le procureur général, aurait agi sous une forte pression psychologique qui trouverait son origine dans les conflits conjugaux à répétition.
Son conjoint, de nationalité américaine, exerçait sur elle des pressions psychologiques fréquentes. Il la menaçait de divorce et de la priver de la garde de ses trois enfants en les emmenant aux États-Unis, croit savoir le site.