C’est désormais effectif. Neo Motors, le premier constructeur automobile à capital marocain, a donné le coup d’envoi de la commercialisation de ses premiers véhicules « made in Morocco ».
La mise en place de nouvelles extensions internet a fait l’objet d’une querelle entre la région de Tata, dans le sud du Maroc, et le constructeur automobile indien du même nom, célèbre pour ses voitures très bon marché.
Plus de 1930 nouvelles extensions internet devraient faire leur apparition dans les prochains mois. Mais avant leur entrée effective, l’ICANN, organe international à but non lucratif gérant l’internet mondial, doit traiter l’intégralité des demandes reçues et surtout arbitrer tout litige inhérent à ces nouvelles extensions.
C’est le cas de la nouvelle terminaison .tata. Cette extension réclamée par la région de même nom au Maroc est également disputée par le géant de l’automobile indien. Problème, dans le cas d’un litige de ce type, l’ICANN privilégie celle avec un terme géographique, ce qui est le cas de la province marocaine.
Au final, et après plusieurs réunions, il a été décidé de confier la nouvelle extension au constructeur automobile le 18 juillet dernier. Gageons que cette fleur accordée par le Maroc l’a été contre une compensation financière ou, soyons plus fous, une promesse d’une nouvelle usine dans le pays...
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