Le député a forgé sa dénonciation dans une question écrite. Cette question de cet ancien secrétaire d’État et ex-ministre des Transports français de 2010 à 2012, intervient dans un contexte marqué par les critiques à l’égard de l’Algérie. Des eurodéputés lui reprochent la détérioration de la situation des libertés et des violations systématiques des droits de l’Homme, fait savoir Médias24.
Dans un récent article scientifique intitulé "la mémoire de la guerre civile en Algérie : enseignements du passé avec une référence au hirak algérien", la chercheuse algérienne Faouzia Zeraoulia, à l’université de Jijel, soutient que l’agitation de dénonciation de la rue algérienne met en lumière "le passé violent, et les émotions qui ont été accumulées à partir d’une telle expérience et les leçons qui ont été apprises par les gens".
C’est connu de tous que l’Algérie soutient très fortement la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et s’évertue à faire la promotion du Polisario. De son côté, le Maroc poursuit ses actions en faveur de ses populations. Le royaume et l’Union européenne ont d’ailleurs adopté l’accord sur l’agriculture et signé l’accord de pêche. Deux accords qui visent à promouvoir le droit de la population marocaine au développement dans toutes les régions du pays et à contribuer à la lutte socioéconomique contre le terrorisme et l’immigration illégale.