Le groupe Haraki à la Chambre des Représentants a interpellé le ministre de l’Agriculture, Mohamed Sidiki, sur les dattes notamment d’origine algérienne qui ont inondé le marché marocain avant le début du mois de ramadan.
À quelques jours du début du mois du ramadan, les marchés sont déserts. Les denrées alimentaires sont disponibles, mais il y a très peu d’acheteurs.
Les commerçants peinent à écouler leurs produits : dattes, chebbakia et autres épices. Les clients sont de plus en plus rares dans la ville de Casablanca, constate Le360. Pourtant, ce sont des produits très prisés chez les Marocains, surtout en période de ramadan.
Selon les commerçants, cette situation s’explique par l’état d’urgence sanitaire imposé par les autorités depuis le 20 mars dernier, afin de freiner la propagation du coronavirus dans le royaume. Autre explication : les ménages préfèrent se concentrer sur l’essentiel, en ces temps de confinement.
Au Maroc, le mois du jeûne débutera probablement le 24 ou le 25 avril.
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