Ces prévenus ont été interpellés au cours de la semaine écoulée pour non seulement des infractions liées à la violation de l’état d’urgence sanitaire mais également pour détention et vente de produits de consommation issus de la contrebande, rapporte Assabah.
Suite aux plaintes de riverains sur l’existence de ces cafés de consommation de chicha pendant l’état d’urgence, les éléments de la Police judiciaire ont fait une descente dans ces lieux et plusieurs quantités de narguilé et des centaines de paquets de maassel (chicha) issus de la contrebande ont été saisies.
Ils ont également embarqué tous les clients surpris en flagrant délit de consommation au commissariat. Certains ont été libérés suite à un contrôle d’identité en vue de s’assurer qu’aucun d’entre eux ne fait l’objet d’un avis de recherche. Quant aux gérants des cafés, au nombre de huit, ils ont été placés en garde à vue pour les besoins de l’enquête.