Les membres du Hirak n’ont pas été torturés, affirme le procureur du roi
Le procureur du roi a qualifié de « sans fondements », les allégations de certains membres du mouvement du Hirak qui accusent les autorités de torture.
Le procureur du roi près la Cour d’appel de Casablanca a réagi hier suite à la publication par certains médias du risque pour certains militants du hirak, dont Nasser Zefzafi, d’être condamnés à la peine de peine.
Pour le procureur, ces informations sont « fausses et ne reposent sur aucun fondement juridique ». De plus, le « dossier de cette affaire est encore entre les mains du juge d’instruction qui est, en vertu de la loi, le seul en droit d’ordonner la poursuite, la non poursuite ou de se déclarer incompétent », a-t-il précisé.
Déplorant que la publication de ce genre d’information a pour but « d’influencer le déroulement de l’enquête », le procureur du roi rappelle que le « dossier de cette affaire est encore entre les mains du juge d’instruction qui est, en vertu de la loi, le seul en droit d’ordonner la poursuite, la non poursuite ou de se déclarer incompétent ».
Aller plus loin
Le procureur du roi a qualifié de « sans fondements », les allégations de certains membres du mouvement du Hirak qui accusent les autorités de torture.
Comme prévu la deuxième audience de Nasser Zefzafi et de ses compagnons hier au tribunal de Casablanca a été houleuse.
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