Au Maroc, la mère divorcée, qui obtient généralement la garde de l’enfant, n’en a pas la tutelle qui revient de droit au père. Les défenseurs des droits des femmes appellent à une réforme du Code de la famille pour corriger ce qu’ils qualifient...
Le Pédophile espagnol Daniel Galván a été entendu par la justice espagnole dans le cadre de la plainte pour abus sexuels sur une mineure remontant à 2004. Arrivé à 10h samedi matin chez le juge, il n’est sorti qu’une heure plus tard.
Devant le juge, Galvan a admis avoir connu la famille de la jeune victime, mais également s’être occupé de la fille à plusieurs reprises, quand elle avait 4 ans. Selon son avocat, Manuel Maza, le pédophile n’a jamais eu d’attouchements à caractère sexuel envers la fillette. Pour lui, "C’est un règlement de comptes entre le père de la jeune fille, aujourd’hui âgée de 14 ans, et Galvan".
D’après le procureur, le témoignage de la jeune fille, placée dans un centre pour mineurs, corrobore la thèse défendue par ses parents.
Condamné à 30 ans de prison en 2010 pour le viol de 11 mineurs à Kénitra, le pédophile espagnol a d’abord été gracié par le Roi Mohammed VI, avant de voir sa grâce annulée, suite à "une erreur" et la pression de la rue.
Un mandat d’arrêt international, lancé par les autorités marocaines, a permis l’arrestation de Galvan Fina et son incarcération à Soto del Real, prison située dans la région de Madrid.
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