L’affaire « Escobar du désert » continue de livrer ses secrets. L’enquête en cours a révélé que Saïd Naciri, président du club sportif Wydad, et Abdenbi Bioui, président de la région de l’Oriental, en détention pour leurs liens présumés avec le...
Le pédophile espagnol Daniel Galvan, condamné à 30 ans de prison au Maroc pour avoir violé onze enfants, poursuit en justice la famille de deux de ses victimes habitant une maison lui appartenant à Kénitra. Galvan a chargé son avocat au Maroc de faire expulser cette famille de son habitation.
Daniel Galvan avait acheté cette maison pour y faire loger la famille d’une jeune fille qu’il avait promis d’épouser, avant de violer sa fiancée et sa sœur. Le pédophile avait obtenu une décision d’expulsion de la famille des victimes alors qu’il était encore en prison au Maroc.
La procédure judiciaire avait été bloquée après l’éclatement de l’affaire de la grâce royale, qui a permis à Daniel Galvan de quitter la prison marocaine en direction de l’Espagne, où il sera interpellé peu de temps après son arrivée.
Condamné à 30 ans de prison au Maroc pour avoir violé 11 enfants à Kénitra, avant de bénéficier d’une grâce royale et de quitter le pays, le pédopornographe purge aujourd’hui le restant de sa peine en Espagne.
Galvan affirmait souvent à ses compagnons de cellule qu’il allait se venger de tous ceux qui sont à l’origine de sa condamnation dès sa sortie de prison. Agé de 65 ans, le pédophile espagnol ne devrait purger que cinq ans de prison en Espagne. La législation espagnole énonce que tout prisonnier dont l’âge dépasse 70 ans, doit être relâché.
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