
De nombreux artistes marocains dénoncent l’avidité des organisateurs de festivals à s’accaparer du cachet du chanteur en échange de l’inscription de son nom à l’un des évènements d’été. Ils appellent le ministère de la Culture à intervenir.
Quatre jeunes artistes marocains (deux danseurs, un maâlem gnaoui et un percussionniste), participant au collectif Nayda, ont disparu au lendemain de la représentation de la troupe à Bruxelles, en Belgique.
Ce deuxième incident - après celui des musiciens du chanteur Barry en Espagne, l’année dernière - remet sur la table la question de l’octroi des visas aux artistes de la nouvelle scène.
D’où la réaction de Momo Merhari, organisateur de L’Boulevard, qui tient à préciser que “les concernés ne faisaient pas partie des artistes sélectionnés et suivis par l’EAC Boulevard”. L’équipe de L’Boulevard et le groupe Amarg Fusion devraient (re)prendre la route de Bruxelles en octobre, où les Soussis se produiront sur la scène du “Festival de musique et de résistance”.
TelQuel
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