Dans un communiqué, le ministère affirme que le décès du nourrisson est dû à des conditions d’accouchement inappropriées, son état de santé et le retard des parents dans la consultation d’une médecin.
Né le 27 janvier dernier à domicile, donc sans présence médicale, le nouveau né n’a été présenté au médecin que trois jours après sa naissance, avant d’être transféré d’urgence au service des prématurés.
Au cours du mois de février, le nourrisson a été pris en charge à trois reprises par l’équipe médicale, précise le ministère, et à chaque fois, les soins nécessaires ont été donnés au nourrisson. Suite à l’amélioration de l’état de santé du nouveau né, des conseils ont été prodigués à la maman sur la « façon de s’occuper de son enfant prématuré », conclue le ministère.
Des informations publiées la semaine dernière par la presse accusaient l’équipe médicale d’avoir sous-estimé l’état de santé du nourrisson et de l’avoir laissé sortir du service des prématurés alors qu’il n’était pas complètement rétabli.