
Un durcissement du traitement administratif des étrangers, même en règle, se dessine à Nantes. Une note interne de la police dévoile une procédure inédite qui fait grincer des dents.
La ministre déléguée chargée des Marocains résidant à l’étranger, Mme Nouzha Chekrouni, a évoqué, lundi à Madrid, avec les secrétaires d’Etat espagnols aux Affaires sociales et à l’immigration les problèmes de la communauté marocaine établie en Espagne.
Un communiqué du ministère indique que Mme Chekrouni a examiné avec les responsables espagnols les solutions à apporter aux problèmes que rencontrent les Marocains établis en Espagne, notamment en matière de logement, de simplification des procédures administratives et de regroupement familial.
Mme Chekrouni a mis l’accent sur les mesures à prendre en vue de faciliter l’intégration des MRE et favoriser la création d’espaces culturels maroco-espagnols, lesquels contribueraient à la promotion des principes de tolérance, de paix et de démocratie.
Elle a appelé la partie espagnole à accélérer les procédures visant l’homologation du permis de conduire marocain en Espagne et à trancher sur les demandes de régularisation de la situation des Marocains établis en Espagne.
Actuellement en visite de travail dans la péninsule ibérique, Mme Chekrouni avait tenu des réunions élargies, à Madrid et à Séville, avec les membres de la communauté marocaine.
Elle a eu également des entretiens avec MM. Manuel Chaves, président du gouvernement autonome d’Andalousie, Juan Ignacio Swaido, délégué du gouvernement central en Andalousie et Juan Carivas Rebiales, directeur général des Affaires européennes et de la Coopération étrangère.
Lors de sa visite en Espagne, Mme Chekrouni se rendra dans plusieurs villes espagnoles pour s’enquérir sur place de la situation des Marocains résidant en Espagne.
MAP
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