Malgré la promesse de l’ambassade du Maroc de trouver une solution à ces mineurs dont certains n’ont pas encore atteint 10 ans, ils errent encore dans les rues de Paris au grand dam des riverains qui leur reprochent de fumer du cannabis et d’être violents avec le voisinage.
Interrogé par BFM TV, un mineur confie avoir quitté le Maroc à cause de sa situation misérable. "Au Maroc, il n’y a rien. La vie est dure. J’étais à l’école, mais ma famille a eu des problème. Ma mère est morte ça fait 13 ans. Mon père s’est remarié mais sa femme ne voulait pas m’élever, elle me traitait mal".