
Au Maroc, des ingénieurs et autres consultants en informatique ont trouvé la formule pour échapper au fisc. Ils proposent de manière informelle leurs services aux grandes entreprises qui les paient via des intermédiaires.
Google Trends est ce « détective » virtuel qui permet de savoir notamment par quel pays tel mot ou tel autre a été le plus recherché sur Google. Au fil des recherches effectuées au niveau mondial, un classement est établi par pays, par régions, par villes, par langues... De la sorte, on sait à la date du 25 décembre, que les Marocains figurent en tête des internautes qui ont le plus recherché les mots : Filles, garçons et pubis.
Pour le mot phallus, le Maroc n’est même pas dans le top ten. Par contre, pour le mot zob (hachakom) plus connu des nationaux, le pays figure deuxième après la Slovénie. Les Casablancais sont les premiers mondiaux à avoir recherché ce mot et les Rbatis arrivent cinquièmes. Pour le mot « cul », les Marocains arrivent troisièmes après la France et la Belgique.
Pour le mot vagin, les trois principaux pays du Maghreb s’unissent pour figurer en tête. Dans l’ordre, il y a l’Algérie, la Tunisie et le Maroc. La France en fidèle alliée de l’UMA, arrive quatrième. Pour le mot « sexe », l’Algérie arrive première, la France la suit et le Maroc arrive troisème. Bon, changeons de registre !
Pour les deux mots : fabriquer une bombe, l’Algérie est au premier rang suivie du Maroc puis de la France et de la Belgique. Par contre, pour le mot science, aucun pays maghrébin ne se trouve dans le top ten. Les Philippines 1ers suivis par l’Inde, et les USA.
Le Reporter
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