Depuis la promulgation de la nouvelle loi « asile et immigration » en France, les expulsions sous OQTF visent désormais plusieurs catégories d’étrangers autrefois protégées par la loi.
Quelques 800 immigrés marocains, bloqués en Israël, auraient courant 2010 déposé des dossiers auprès du ministère de l’Intérieur en vue d’obtenir la nationalité israélienne.
Ces marocains, partis en Israël avec des contrats de travail au milieu des années ’90, quand l’Etat hébreu disposait d’un bureau de liaison à Rabat, fermé après la seconde Intifada en 2000, revendiquent aujourd’hui le droit à la citoyenneté israélienne, rapporte Al Massae.
Ces demandes de naturalisation déposées auprès du ministère de l’Intérieur israélien concernent principalement des fils d’immigrés marocains en situation irrégulière en Israël depuis plusieurs années.
Malgré la fermeture en octobre 2000 du bureau de liaison d’Israël à Rabat, les relations entre le Maroc et l’Etat hébreu n’ont jamais vraiment cessé et la coopération entre les deux pays se poursuit dans la discrétion totale.
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