Le Maroc a mis en place des mesures et des mécanismes afin de réduire les émissions de gaz polluants générées par la mobilité du parc de taxis, a affirmé Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur au Parlement.
Photo : Article19.ma
Les parlementaires se font taper sur les doigts par le président du perchoir pour leurs tenues excentriques au beau milieu des sessions du Parlement.
Bientôt on parlera de parlementaires portant des chapeaux de paille ou de cow-boy ! Dans un style que le sujet vaut bien, Article19 écrit : « Au Maroc, « un laisser-aller » qui risque, avec le temps, de transformer l’hémicycle en véritable cirque. Et pour cause, outre le grave problème de l’absentéisme, la Chambres des députés fait face au phénomène du code vestimentaire des élus du peuple, hommes et femmes, lors des séances parlementaires ».
Et il y aurait eu un florilège de couleurs au Parlement et des députés tout contents de porter des djellabas à la mode mais faisant tout de même un mécontent : Habib El Malki, le président de la chambre… Il aurait demandé aux élus de s’habiller (la prochaine fois) de manière « convenable » par respect pour l’image de l’institution.
A savoir que cette requête d’El Malki n’a rien de subjectif ni de personnel. Il y a un code de conduite à respecter par les parlementaires inscrit dans le règlement intérieur même de la chambre des représentants, et El Malki n’a fait que le rappeler à ceux et celles, ces spécialistes de législation, qui l’ont apparemment oublié.
A ce sujet, Article19 écrit que ledit code « stipule à son article 360 que les députés, hommes et femmes, doivent porter une tenue vestimentaire qui reflète le respect dû à l’institution. Par ailleurs, l’article 16 précise clairement qu’ils doivent porter « une tenue traditionnelle complète » (Djellaba blanche) ou une tenue moderne complète, genre costume et cravate ».
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