Une Marocaine de 28 ans est décédée après avoir pris des pilules amincissantes achetées auprès d’une inconnue qui faisait la promotion de ces produits sur Instagram.
Le secteur pharmaceutique est considéré comme le plus rémunérateur en termes de salaires, indique une récente étude de Diorh-Mercer.
Beaucoup de jeunes, en fin de formation ou déjà en activité, tentent de se diriger vers les secteurs qui octroient les meilleurs salaires.
La récente étude de Diorh-Mercer, publiée par L’économiste, éclaire chacun sur cette préoccupation. Sur la liste des meilleurs employeurs, on retrouve les secteurs des biens de consommation, les high tech et le secteur pharmaceutique.
Concernant le secteur pharmaceutique, il est considéré comme le meilleur employeur sur la base de cette étude, à la fois pour les patrons, les cadres et les employés opérationnels.
Selon la même étude, ces secteurs accordent ainsi des salaires jusqu’à 28% supérieurs à la médiane du marché de l’emploi.
A en croire le même média, ce classement a été établi sur la base d’une enquête couvrant 176 entreprises employant près de 40.000 personnes et opérant dans 14 secteurs.
La même enquête relève que les managers et les cadres de ces trois secteurs sont les plus choyés. Cela se justifie par le fait que, dans ces domaines, les compétences sont rares et les entreprises sont obligées d’investir des ressources financières pour recruter les meilleurs.
En ce qui concerne les métiers, la même source rapporte que, selon l’étude, les postes de « Sales & marketing » et « IT » sont les plus rémunérateurs et, plus particulièrement, pour les cadres et les managers.
En revanche, au niveau des non-cadres, la publication rapporte que ce sont les métiers de l’ingénierie, de la logistique et de la finance qui rémunèrent le mieux.
Quant aux salaires, la comparaison entre 2018 et 2019 révèle que ceux-ci ont augmenté en moyenne et la tendance n’est pas prête à s’estomper, dans la mesure où toutes les conditions sont propices au niveau macro-économique : croissance positive, fort investissement public, inflation faible, rareté des compétences.
De l’étude réalisée, on constate que seuls les non-cadres, qui ont profité de la hausse des salaires l’année dernière, sont suivis par les dirigeants et les managers.
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