Les faits se sont déroulés le 8 mars dans le douar d’Ighil n’Tlghmt, dans la province de Chichaoua. Les accusés se sont rendus sous une tente où se déroulait une session de mémorisation du Coran dispensée à des filles. Ils ont agressé les participantes et renversé une table sur laquelle se trouvaient des exemplaires du Coran.
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L’affaire a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux. Les internautes ont dénoncé un acte intolérable, vu comme une atteinte à la liberté de culte, réclamant des sanctions à la hauteur de la violence perpétrée.
Alertées, les forces de l’ordre ont ouvert une enquête qui a permis d’interpeller les mis en cause. Ces derniers ont ensuite été traduits en justice puis condamnés.