Les mis en cause ont été interpellés pour leur implication présumée dans la violation des mesures qu’impose l’état d’urgence et la gestion de locaux de consommation de chicha sans autorisation. Dans un communiqué, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), indique que dans les deux cafés, objet du contrôle, la police a constaté un non-respect flagrant de la distanciation physique.
En dehors du gérant du premier café, d’un fonctionnaire de police, copropriétaire du deuxième café, ainsi que de quatre serveuses qui servaient à leurs clients la chicha sans autorisation et sans prendre les précautions sanitaires nécessaires, quinze narguilés ont été également saisis lors de cette opération.
Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête préliminaire menée sous la supervision du parquet compétent.