La Direction générale de la météorologie (DGM) s’explique sur un phénomène naturel rarissime qui touche les régions désertiques et sahariennes du Maroc.
A Casablanca et à Rabat, des centaines de Marocains se sont rassemblés vendredi pour appeler les responsables politiques de la planète à agir face à l’urgence climatique.
L’heure est grave. Et, les voyants sont au rouge pour le climat. Conscients du danger qui guette la population, ils ont décidé de se faire entendre : « Nous avons besoin de solutions », « Notre planète est en danger », « Sauvons-la pour nos enfants », ont repris en chœur des centaines de personnes, majoritairement jeunes, rassemblées sur la Corniche, boulevard en bord de mer de la métropole économique du Maroc, sous un soleil étincelant.
Même son de cloche à Rabat où ils étaient aussi plusieurs centaines devant le Parlement, dans le centre-ville de la capitale, prenant part à la "Grève pour le climat" organisée sur toute la planète. Sur leurs pancartes, on pouvait lire : « Une énergie 100% renouvelable, c’est possible », « Notre planète, nos droits ».
Pour Hamza Oudghiri, 40 ans, membre d’une association environnementale locale, il importe de s’unir pour exhorter les gouvernements du monde entier à agir face au réchauffement climatique, indique TV5 Monde.
La même source rapporte que la protection de l’environnement a été érigée en priorité par l’Etat marocain, qui adopte volontiers une communication prolixe sur ce thème depuis qu’il a accueilli la COP22 en 2017.
Il est clair que le Royaume est particulièrement sensible aux conséquences du changement climatique. Selon un rapport consacré aux risques climatiques, publié en 2016 par l’Institut royal des Études stratégiques (IRES), « les inondations constituent désormais le premier risque en termes de personnes tuées au niveau national ».
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