L’ONU critique indirectement le Polisario
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Le Président du Gouvernement espagnol en fonction, Pedro Sanchez, a infligé un nouveau camouflet au Polisario et à ses soutiens, lors de l’Assemblée générale des Nations-Unies.
Devant les Chefs d’Etats, de Gouvernements et de délégations des 193 pays réunis à New York, le Président Sanchez a indiqué que la voie d’une solution « politique, juste, durable et mutuellement acceptable » au conflit artificiel autour du Sahara marocain passe exclusivement par l’ONU.
Pour l’Espagne, il n’est pas question de tenir un quelconque référendum pour le règlement de ce différend.
Cette option d’ailleurs obsolète, « irréaliste et irréalisable », de l’aveu même de l’ONU, a été définitivement enterrée en faveur de la solution politique, négociée et mutuellement acceptable.
La déclaration de Pedro Sanchez à la tribune de l’Assemblée générale s’aligne sur la voie du droit et de la raison. Le règlement passe par le processus politique sous les auspices de l’ONU.
Devant l’auguste Assemblée de l’ONU, Madrid confirme haut et fort à son tour que l’option du référendum au Sahara est définitivement enterrée. Ce faisant, l’Espagne rejoint la position largement défendue par la communauté internationale.
Selon elle, la solution de la question du Sahara ne peut être que politique, mutuellement acceptable et négociée sur la base du réalisme et de l’esprit de compromis et de la prééminence de l’Initiative marocaine d’Autonomie.
A ce titre, le Conseil de Sécurité, seul habilité à délibérer de ce dossier, selon la Charte de l’ONU, a constamment salué le sérieux et la crédibilité de cette Initiative.
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