Malika El Aroud, condamnée pour terrorisme en 2008, est décédée à l’âge de 64 ans. Cette femme, qui avait la double nationalité belge et marocaine, avait été déchue de sa nationalité belge en 2017 pour avoir « gravement manqué à ses devoirs de...
Une circulaire conjointe a été signée ce mardi 2 juillet 2019 par les Ministères de la Santé et de l’Intérieur. Elle porte sur la mise en place d’un système national d’enregistrement des causes de décès, conforme aux standards internationaux.
Se conformer aux normes recommandées par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), en matière d’enregistrement des causes de décès. C’est l’objectif de ce système national établi qui s’inscrit dans le cadre des priorités nationales et des engagements internationaux du Royaume.
Selon un communiqué du Ministère de la Santé, ce système permet "d’identifier les principaux facteurs de la mortalité de la population". Une démarche importante, surtout quand on sait que "la connaissance des causes de décès est de nature à améliorer la planification stratégique basée sur l’évidence scientifique, afin de renforcer la surveillance épidémiologique et d’améliorer l’évaluation des programmes de santé", ajoute la même source.
Sur un autre volet, il est signalé que l’adoption de ce système permettra également de produire des indicateurs, pour apprécier régulièrement l’état de santé de la population, en lien avec les cibles relatives à la santé prévues, dans le cadre des objectifs de développement durable.
Dès lors, la circulaire met en place un nouveau Certificat de Décès, conforme aux normes établies par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Il s’agit là, désormais, insiste le communiqué, du "document de base officiel à considérer par l’ensemble des établissements de santé publics et privés et les Bureaux communaux d’hygiène".
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