Emboîtant le pas à plusieurs pays, en particulier la Corée du Sud qui a fait usage d’applications similaires pour tracer les interactions sociales, le Maroc aurait inclus une solution élaborée en Israël, sous le nom Hamagen, parmi la liste proposée.
À en croire le site Al3omk, le communiqué de l’Exécutif, datant du 9 avril dernier, n’aurait pas été du goût de certaines associations antisémites, qui ont appelé le gouvernement à retirer le produit israélien du panel, précisant que "toute normalisation avec l’ennemi sioniste est un crime condamnable".
La stratégie de traçage numérique pourrait certes aider à endiguer l’épidémie du coronavirus, mais risque également de porter atteinte aux libertés publiques. Une menace qui continue de faire couler beaucoup d’encre en France.