Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Le Mouvement du 20 février remet ça. Après le succès des marches du dimanche 20 février dernier auxquelles ont participé des milliers de Marocains dans les villes du Royaume, le Mouvement appelle à de nouvelles manifestations les dimanches 6 et 20 mars prochains.
Dans un communiqué, le Mouvement qui rassemble associations, citoyens et partis politiques, explique appeler à de nouvelles marches parce que l’État marocain "n’a pas répondu à ses demandes légitimes".
Le Mouvement, qui dénonce la création du Conseil économique et social qu’il qualifie de "coquille vide" créé "après allégeance" et géré par des "commis de l’État", conclut : "L’État marocain n’a plus le choix. Il doit réellement s’inscrire dans le changement démocratique".
Ces articles devraient vous intéresser :