L’ex-entraîneur de l’OGC Nice, Christophe Galtier, ainsi que son fils, John Valovic-Galtier, ont été placés en garde à vue ce vendredi dans le cadre d’une enquête portant sur des allégations de discrimination au sein du club.
La section marocaine de l’organisation Amnesty International vient de lancer une campagne appelant à la liberté sexuelle au Maroc, dont le but est de casser le mur du silence et les tabous entourant la sexualité au Maroc.
Mohamed Sektaoui, directeur de l’antenne marocaine, tente de relayer au Maroc la campagne mondiale "My body, my rights" (mon corps, mes droits), lancée par son organisation dans le cadre de la journée de la femme, demain, samedi 8 mars.
Dans une interview publiée par Akhbar Al Yaoum, Sektaoui demande au gouvernement Benkirane d’inscrire la liberté sexuelle dans la réforme pénale en cours et de la reconnaître comme une partie intégrante des droits de l’Homme. Il encourage les jeunes à revendiquer le droit de disposer de leur corps librement, sans contrainte extérieure.
L’organisation appelle à donner la possibilité aux femmes de prendre elles-mêmes les décisions les concernant. Que ce soit pour sa santé, son corps ou sa vie sexuelle, la femme doit, selon Amnesty, n’en référer qu’à elle même sans demander l’autorisation à quelqu’un d’autre. Elle appelle donc à reconnaître ce pouvoir de décision comme un droit fondamental.
Malheureusement, ce droit est bafoué dans de nombreux pays. "Une femme ne peut pas obtenir de moyen de contraception parce qu’elle n’a pas l’autorisation de son mari. Une adolescente se voit refuser une interruption de grossesse qui lui sauverait la vie parce que l’avortement est illégal dans son pays", déplore l’association, qui lance donc une pétition à l’adresse des gouvernements.
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