
Un durcissement du traitement administratif des étrangers, même en règle, se dessine à Nantes. Une note interne de la police dévoile une procédure inédite qui fait grincer des dents.
La communauté marocaine installée en Espagne est forte de 378.979 membres en situation légale, soit la deuxième plus forte communauté étrangère derrière celle des Equatoriens qui compte 390.297 membres en situation légale, indique, mercredi, l’Institut Espagnol de la Statistique (INE).
L’analyse des données démographiques de 2003, rendues publiques par l’INE, permet de relever que la communauté équatorienne est passée, pour la première fois, en tête de la population étrangère en Espagne avec 14,65 pc du total des immigrés munis de cartes de résidence. Elle est suivie de la communauté marocaine qui représente 14,23 pc de la population étrangère légale recensée en 2003 sur la base des inscrits aux registres municipaux.
La communauté colombienne, la troisième en nombre, compte 244.684 (9,18 pc), suivie de la roumaine avec 137.347 (5,16 pc) et l’allemande avec 130.232 (4,89 pc). La communauté argentine compte, pour sa part, 109.445 membres (4,11 pc).
Au 1er janvier 2003, la population espagnole est passée à 42.717.064 membres contre 41.837.894 membres en 2002, soit une augmentation de 879.170 personnes, dont 686.224 nouveaux étrangers installés en espagne.
En 2003, ont été particulièrement inscrits aux registres municipaux, 130.775 nouveaux Equatoriens (contre 120.500 en 2002), 71.521 nouveaux Marocains (74.043 en 2002) et 70.068 nouveaux Roumains (35.638 en 2002). Sur les trois communautés, la marocaine est la seule qui a accusé une baisse en nombre de nouveaux résidents en situation légale par rapport à sa situation en 2002.
Les registres municipaux signalent également l’inscription de 110.801 enfants d’étrangers, nés en Espagne, dont 28.834 Marocains (en tête), 8.068 Equatoriens, 5.097 Britanniques, 4.754 Portugais, 4.696 Chinois, 3.413 Italiens et 2.569 Roumains.
MAP
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